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De 1926 a 1928, il vivra avec Nancy Cunnard. Elle le quittera lors d’un voyage à Venise. C’est avec elle, qu’il détruira les pages de son romans « La défense de l’infini » dans un hôtel madrilène. C’est aussi pendant cette période qu’il finira par adhérer au PCF , en compagnie de Breton et d’Eluard. Ceux-ci n’y resterons que quelques mois.
Après un tentative de suicide, la vie reprend son court, il s’installe rue du Château, lieu ou vécurent notamment les frères Prévert, des amis d’enfance. Il rencontre Maïakovski, puis Elsa Triolet la belle sœur du poète russe. Il commence a se détacher du surréalisme. Après la publication de « front rouge » que Breton qualifiera de poésie de circonstance, ce que revendiquera Aragon et une série de pamphlets (« spécialité du chef de file du surréalisme ») qui ne feront qu’envenimer leurs relations déjà tendues depuis des années, la rupture sera définitive
Louis Aragon, que son père, un haut fonctionnaire et député, n'a jamais voulu reconnaître, montre très jeune un don pour l'écriture. Il est étudiant en médecine lorsqu'il rencontre André Breton en 1916 avec lequel il se lie d'amitié. En 1918, il publie ses premiers poèmes, puis part, en tant que médecin auxiliaire, au front des Ardennes. Son courage lui vaut d'être décoré de la Croix de Guerre.
Avec André Breton, Louis Aragon participe au mouvement dadaïste et surréaliste. En utilisant l'écriture automatique, il écrit les "Aventures de Télémaque" (1921), puis le "Mouvement perpétuel" (1926).
En 1928, il rencontre Elsa Triolet, femme écrivain d'origine russe, qui sera l'amour de sa vie et qui lui inspirera de nombreux poèmes. Membre du PCF, Louis Aragon s'engage aux côtés des communistes et rompt avec André Breton en 1932. Parallèlement à son activité militante, il se consacre à l'écriture de romans en revenant à un style plus classique et en les orientant vers la critique sociale : les Cloches de Bâle (1934), les Beaux