Dear Gods
Là où quoique l'on fasse, quoique l'on dise, on ne peut être jugé, ou malmené. Là où nous nous retrouverons enfin, un territoire indéfini. Notre utopie.
La réalité n'est qu'une infime partie de l'immensité de nos rêves. Nos rêves, oui nos rêves, ceux qui nous disent de voir au delà des limites que nous ont fixé nos ancêtres.
Car le monde dans lequel nous vivons actuellement, n'est en réalité que les rêves de ceux qui nous précédaient sur cette terre. Cette terre que l'Homme s'appropria de droit.
Les véritables rêves se passe là où en réalité il n'y a rien. Là où l'on croit déjà avoir tout vu. Lorsque notre subconscient laisse place à notre imagination, le monde que nous connaissons disparait. Il disparait pour laisser place à la folie, l'imaginaire, la fantaisie.
J'ai tant attendus des gens, tant attendus de mes proches, tant attendus de ceux que j'aimais, qu'à force de patience j'ai perdu espoir. Espoir en l'humanité, j'ai perdu foi en l'Homme et en Dieu. Dieu. Cet idéal créé par l'Homme dans le but d'avoir quelque chose en quoi croire, pour ne pas baisser les bras, pour avoir quelqu'un à qui se confier, pour avoir quelqu'un vers qui se tourner quand tout va mal. Quelqu'un. Ou quelque chose. Ou rien, tout simplement. Rien qu'un idéal.
Une simple croyance.