DEHORS LA SUBVERSION
Table des matières
Tables matières 2
Liste des figures 3
Introduction 4
1. Analyse descriptive 5
1.1 Raphaëlle De Groot 5
1.2Devora Neumark 6
1.3Les fermières obsédées 6
2. Analyse iconographique / Analyse de représentation sociale 7
3. Analyse interprétative 8
Conclusion 11
Bibliographie 13
Annexe I 14 Figures
Liste des figures
Figures pages
1 et 2 Raphaëlle De Groot 14
Le poids des objets
2009-2016
Performance
Canada, Mexique, Italie
3 à 7 Devora Neumark 15
The art of conversation
2000
Performance
Métro Frontenac, Montréal
8 à 10 Les fermières obsédées 16
Le carnaval
2008
Performance
Montréal
Introduction
L’espace public était, il n’y a pas si longtemps, un lieu d’interventions artistiques marginal. Sans perdre de temps, l’institution a intégré dans ses programmes les pratiques en espace public, ayant pour effet de les rendent conformes. Là où l’artiste avait trouvé le terrain de la subversion, l’institution, en l’acceptant, l’annulait. Malgré cela, l’artiste avait tout de même accompli un changement, car il avait redéfini les contours du champ de l’art en fuyant la norme vers le hors-norme. Suite à ce constat, nous pouvons nous demander si, dépourvu de sa marginalité, l’artiste peut encore reconfigurer les contours de l’art. Le présent travail se penchera donc sur la problématique suivante : le pouvoir de subversion de l’artiste peut-il encore aujourd’hui s’exercer? L’hypothèse de départ est que oui, mais à plusieurs conditions. Un : que l’artiste œuvre hors de l’institution, deux : qu’il conçoit son acte artistique à partir de la notion du commun et non plus à partir de son individualité et trois : qu’il travaille l’interstice et non l’exhibé. Cette recherche s’effectuera à partir de la thèse Art contemporain : la fin de la subversion de Dominique Sirois,