Deliquence juvenil
Un ancien de la bande « Fauroch » a témoigné qu’à l’origine « la bande, comme toute autre association de jeunes visait tout simplement des activités culturelles. Cependant, l’apparition des deux autres bandes a favorisé la concurrence jusqu’à créer des conflits ». Commençaient alors des défis multiples qui se traduisent souvent en actes de violence car les bandes s’attaquaient entre eux ainsi qu’à d’autres personnes. Il fut même un temps où certains d’entre eux, devenus toxicomanes, avaient été envoyés au centre de réinsertion d’Anjanamasina. Une défaillance d’éducation de la part des parents a été, entre autres, citée comme principale cause de cette délinquance juvénile.
Des sensibilisations par quartier en vue
A l’issue d’une analyse des causes, plusieurs résolutions ont été prises au cœur de la rencontre pour remédier à cette extrême délinquance. Le Chef de la Région Diana a déjà commencé avec des sensibilisations à travers des rencontres sportives de Basket et Football organisées par quartier. Le club Jdd poursuivra