Devoir 1
Point de vue : Non. Malgré que Cartier et Lahontan décrivent les Français de façon péjorative, l’intensité de ces descriptions varie en intensité d’un texte à l’autre.
Argument principal 1
À première vue, les Français dans les deux textes sont décrits d’une façon plutôt semblable, puisqu’ils sont représentés défavorablement.
Sous-argument 1.1
Sous-argument 1.2
Dans Extraits de Voyages en Nouvelle-France, les Français sont perçus comme étant des êtres ennuyeux.
Dans Dialogues de monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, les Français sont décrits comme étant dogmatiques en ce qui concerne leur religion.
Illustration 1.1
Illustration 1.2
Lorsqu’il écrit « Et après qu’il eut fini sa dite harangue » (l.16), on peut de toute évidence en déduire que Cartier n’apprécie pas pour autant les discours des gens de Nouvelle-France.
Plus le dialogue évolue, plus la description des Français se concrétise, comme lorsqu’on écrit : « […] Il n’y en a qu’une seule bonne et véritable, qui est la leur […] et cependant ils n’en sauraient donner de preuves. ».
Explication 1.1
Explication 1.2
L’utilisation du mot harangue par l’auteur dans son texte caractérisé par des descriptions vivantes et précises, propres au style d’écriture de Cartier, veut manifestement dire qu’il considère que les Français prononcent des discours autant réprobateurs qu’ennuyeux.
Par le seul fait qu’ils ne puissent pas prouver que leur religion est la meilleure à cette époque où ils voulaient coloniser et évangéliser de nouveaux territoires, les Français promeuvent la suprématie du christianisme par rapport aux autres religions.
Argument principal 2
En examinant plus minutieusement, Cartier et Lahontan présentent les Français différemment, de sorte que l’intensité des descriptions négatives diffère entre les deux textes.
Sous-argument 2.1
Sous-argument 2.2
D’abord, Cartier décrit les Français comme des étrangers qu’il perçoit comme étant