dialogue
ORGON- Ah! Quelle somptueuse soirée! (avec un sourire béat)
VALERE- Je vous le confirme mon père, j'ai fait là de merveilleuses rencontres.
ORGON- Me voilà fort heureux pour vous. Il se trouve que moi aussi, j'ai fait la rencontre d'une femme resplendissante.
VALERE- Par quelle aubaine cela s'est-il fait?
ORGON- Et bien, je m'engageais dans une discussion fort sérieuse avec mon ami le Duc de Savoie quand une femme d'un très bon parti avec une robe d'un blanc immaculé et coiffé d'une tiare bleuté qui nouait ses long cheveux ébène...
VALERE- ( pris dans une rêverie, il n'écoutait point son père) Ah! Qu'elle était belle...
ORGON- Qui? (étonné )
VALERE- Ma rencontre sacrebleu! j'ai passé ma fin de nuit dans ses bras.
ORGON- Pardi! vous voilà bien fortuné. Mais cette femme...
VALERE-Qui? ( Etonné à son tour )
ORGON- Ma rencontre vertuchoux! J'ai eu la chance de passé une heure avec elle dans les jardins avant qu'un jeune chenapan vienne me la volée pour lui accordée une danse. Je jure que si je le retrouvre...
VALERE- (reprit dans ses rêveries ) Si je ne l'avais pas rencontré dans ces jardins...
ORGON-Ces jardins? ( Offusqué ) Je n'ai pourtant croisé qu'une seule personne ici et c'est celui qui me la dérobée !
VALERE- Vous vous êtes surement trompé,, car je suis bel eet bien allé trouver ma bien-aimée qui était accaparée par un viel homme bougre et maladroit.
ORGON- ( Commencant a avoir des doutes ) Mais, dîtes moi, comment était elle?
VALERE- Oh! Si vous saviez. Sa robe de couleur de neige lui tombait délicatement le long de son corps fin et allongé et ses longs cheveux de la noirceur de la nuit était accroché par une tiare bleutée... Je me suis résolu a l'épouser.
Le père comprenant la situation, était en état de choc.
ORGON- Assurément?