Dieu et l’athéisme contemporain
Dieu et l’athéisme : travail de fin de parcours QUESTIONS (4 points par question)
1. Caractérisez les « athéismes » gréco-romains de l’Antiquité (ex. panthéisme matérialiste, panthéisme stoïcien, l’athéisme moral d’Épicure, scepticisme, etc.)
L’athéisme théorique ou pur n’existe que rarement. Souvent on affirme autre chose comme absolu. L’athéisme est une négation de Dieu, mais il met en avant une forme de croyance : …afficher plus de contenu…
Mais il peut aussi être positif : il permettrait l’affirmation admirative de ce qui est tel que c’est. Ainsi l’avenir reste-t-il largement ouvert
Encore aujourd’hui, ce nihilisme exerce une grande emprise, nous sommes attirés par le néant, nous sommes fascinés par la mort. Cette emprise affecte profondément nos sociétés, ne serait-ce qu’à travers cette perte des repères fondamentaux qui commence par un relativisme, par une perte de repère.
Lauwaert Margaux – Dieu et l’athéisme contemporain 9
5. Commentez : « L’existentialisme est le rejet de Dieu au nom de la liberté …afficher plus de contenu…
» Pour Sartre au contraire, Dieu n’a pas déterminé d’essence à l’homme, chaque homme est responsable de sa propre essence, et c’est en cela qu’il est condamné à être libre. Sans Dieu pour déterminer l’essence de l’homme, ce dernier ne peut qu’être libre, à tout instant : «Nous sommes seuls, sans excuses. C’est ce que je veux dire quand je dis l’homme est condamné à être libre. Condamné, parce qu’il ne s’est pas créé lui-même, et encore néanmoins la liberté, et à partir du moment où il est jeté dans ce monde il est responsable de tout ce qu’il fait. »
Sartre élimine alors Dieu comme figure de déterminisme, mais aussi de