Discours du procureur fanatique

Ô grand jury vous qui êtes présent aujourd’hui, Ô grand jury qui êtes si éclairé, Ô grand jury vous qui saurais prendre la bonne décision de tuer ce monstre.
Ce père âgé de 50 ans, a tué son fils si jeune, Jean Calas, l’a tué car son fils voulait se convertir au catholicisme, et ce détritus l’a assassiné car il était protestant. Ne voyer vous pas ? Il est coupable. Jean calas homme si dénaturé est une honte à la société, ne voyez-vous pas ce père indigne, il baigne dans le sang de son fils, Ô il est coupable je vous le dit. Vous n’entendez point le père supplier de se faire torturer ? Ho torturer moi, déchirer moi les membres, je veux avouer mon crime. Ecraser moi j’avouerais tout, briser moi les os que je me dénoncerais. Et bien sûr si il n’avoue pas son crime enlever lui un œil ou une oreille, et si cela ne lui suffit pas briser lui les os de tous les membres du corps pour qu’il crie son massacre. Allez-y faite le souffrir il avouera je vous le jure. Le bon peuple de Toulouse a sût le découvrir que l’horrible Jean Calas avait tué son fils pour qu’il ne se convertisse pas. Et l’incroyable capitoul sir David a su appréhender la famille est la mettre sous les barreaux pour pouvoir les inculpés du meurtre. Ce pauvre Marc Antoine était si jeune mais cette abomination l’a égorgé. Ces protestants, ignobles créatures sortit des enfers, est venue tuer les chrétiens pour se venger. Maintenant Ô magnifique jurés vous trouverais comment faire avouer ce crime a cette immonde créature qui se nomme Jean Calas.