Introduction :

Les femmes représentent environ 45 % de la population active

Depuis toujours et sous de multiples formes mais pas toujours rémunérées, les femmes travaillent et ont contribué à la production de la société avec au commencement leur travail domestique.

Même si, après de multiples évolutions de la société, les situations se sont améliorées pour le travail féminin, il subsiste néanmoins, selon beaucoup de personnes, encore des inégalités entre les hommes et les femmes.

En effet, une femme active ou retraitée sur trois (34%) a le sentiment d’avoir été victime de discrimination sur son lieu de travail parce qu’elle est une femme (sondage réalisé pour l’institut CSA).

Partie 1 : Comment agir ?

Les associations :

Il est nécessaire d’agir. Des associations mènent des actions d’informations afin de faire reconnaitre les droits et les faire appliquer.
Ces missions se déploient aussi bien aux femmes, qu’aux employeurs, afin que chacun soit conscient de ses droits et ses obligations, et soit sensibilisé aux risques des discriminations dans le monde du travail.

Quelques associations :

Partie 2 : Pour quels motifs ?

La grossesse et la maternité sont les motifs les plus répandus lors des discriminations au travail envers les femmes.
Près d’un français sur 2 (46%) estime qu’être enceinte constitue un inconvénient dans l’évolution d’une carrière professionnelle.
L’impact négatif de la grossesse sur le parcours professionnel est reconnu par 47% des hommes et par 46% des femmes.

Mais par-dessus ça, d’autres motifs de discriminations envers les femmes existent. En fait, selon beaucoup d’employeurs, une femme peut manquer d’autorité et de fermeté lorsqu’il s’agit de s’affirmer comme dans les métiers de directions

De plus, il parait impossible aux yeux de certaines personnes que des femmes puissent acquérir les mêmes formations que celles «