Disert : )
340-102-MQ L’Être humain, groupe 09
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Cégep de Saint-Laurent ─ Le 7 Décembre 2011
L’homme vit dans une société aseptisée ou tout le monde est beau (télé, magazines, films, etc.). D’année en année, il se préoccupe davantage de l’image qu’il projette à la société. Le 21e siècle est le siècle qui créa le boom de la pensée « Mon apparence est plus importante que tout ». Dans cette dissertation, on traite la problématique de l’apparence chez la nature humaine: les apparences sont-elles un conditionnement ou un acte de liberté? L’enjeu de cette problématique est que les individus sont interdépendants pour se définir. L’être humain est libre de s’afficher comme il veut, il est maitre de sa propre personne. Ce thème est intéressant à débattre d’un point de vue philosophique, car il y a une contradiction dans notre société par rapport à comment apparaitre. Dans l’analyse qui suit, je développerai la position de Sartre et celle de Skinner par rapport à l’apparence en étalant leurs théories. Mon opinion vous sera présentée tout au long du texte.
Sartre définit l’homme comme être libre. En d’autres mots, l’humain a la liberté de penser et d’agir en fonction de son raisonnement et de ses convictions. Selon lui, chaque homme détermine qui il est par à son entendement, par ce qu’il veut être.
« J’ai voulu montrer, par l’absurde, l’importance, chez nous, de la liberté, c’est-à-dire l’importance de changer les actes par d’autres actes. Quel que soit le cercle d’enfer dans lequel nous vivons, je pense que nous sommes libres de le briser. Et si les gens ne le brisent pas, c’est encore librement qu’ils y restent »1
Sartre conceptualise l’esthétisme humain comme un acte de liberté, comme un choix. « Je m’affiche d’une telle façon parce que je veux, parce que c’est ce à quoi je veux ressembler ». L’homme est seulement ce qu’il veut et décide d’être, c’est la subjectivité. Il n’est rien