La vie sociale signifie d’avoir des interactions avec toute sorte de personnes. Le fait d’entretenir des relations humaines est une des bases de la société, mais aussi de la vie de l’homme. L’individu dans un groupe est plus apte à évoluer et à entretenir son bien être. La vie sociale est basée sur des codes sociaux instaurés par la société ou un groupe social. En effet, on peut dire que la vie sociale des adolescents, aujourd’hui, repose sur l’adoption de codes vestimentaires qui déterminent l’acceptation dans un groupe. Ces codes sociaux reposent aussi sur des habitudes ou sur des pratiques culturelles ou religieuses, comme l’alimentation. Dans certaines sociétés, ces codes peuvent agir comme des lois et par exemple, interdire la vie sociale entre hommes et femmes en dehors de la famille. Ainsi, nous nous demanderons si la vie sociale est profitable à tous. Attire-t-elle des problèmes qui porteront préjudices à l’homme ou assouvit-elle un de ses besoins vitaux ?

L’individu qui ne connaît pas ou rejette les codes sociaux ne pourra s’intégrer à la société ou un groupe social, et aura une vie sociale plus difficile et compliquée. Rousseau disait lui-même à propos de l’homme sauvage et de l’homme policé que ce qui fait le bonheur suprême de l’un, réduirait l’autre au désespoir. De même, la vie sociale peut-être très différente d’un pays à l’autre, et il est difficile pour, par exemple, un immigré de s’intégrer dans une société qui n’est pas sa société d’origine. Ainsi on voit que la connaissance des codes sociaux est nécessaire pour profiter de la vie sociale.
Il en va de même pour une personne qui refuse d’obéir aux codes sociaux. Ils seront appelés marginaux. Salvador Dali faisait lui-même partie d’un groupe social nommé « Surréalistes », mais refusant d’en suivre les codes, il en fut exclu. Ce dernier n’acceptait pas le fait d’être limité par des codes qui l’empêchaient de s’exprimer librement. Si Dali n’a pas souffert de cette exclusion, la marginalisation