La connaissance est une notion aux sens multiples à la fois utilisée dans le langage courant et objet d’étude poussé de la part des philosophes. Pour certains, la connaissance vient de la raison ou de l’intelligence ou encore de l’âme. Elle donne le savoir permanent, universel, le même pour tout humain. Mais n’est pas dût au sens puisqu’ils sont trompeur et ne permette pas d’atteindre la conformité car ils appartiennent aux domaines des perceptions et des opinions. Alors que pour d’autres, la connaissance n’est en rien une réminiscence ou un souvenir, elle se conçoit attachée du monde concret, vécu, sensible. Par le principe de recherche des causes et phénomènes. Ils expliquent en cherchant les causes de ce qui est, l’universel, le stable est dans la constitution même des êtres. Par l’induction l’humain construit l’universel et l’énoncé universel est le point de départ de la déduction et des raisonnements. L’humain construit ainsi de nouvelles connaissances, des raisonnements déductifs par l’intelligence. De ce fait, construisons nous la réalité ou nous la découvrons, reconnaissons?
Aristote, philosophe né à Stagire en Macédoine en -384, observe les phénomènes naturels, il cherche une méthode pour comprendre ses observations. Il invente ainsi la logique. Aristote est un réaliste et sa théorie de la connaissance s’articule autours de divers concepts où l’être individuel est double à la fois un et multiple, sa nature le pousse à actualiser ce qu’il est en puissance, comme l’enfant qui s’élève jusqu’à en devenir adulte. À partir de l’être individuels en changement, par induction, produit ses idées et par déduction, il explique la composition et le changement par les 4 causes. La connaissance se trouve dans les causes, ce n’est en rien une réminiscence. Elle ne peut se concevoir détachée du monde concret, vécu et sensible et c’est dans le monde observable que se trouvent les causes du mouvement, du changement et du devenir. En ce sens, Aristote croit nous