Un acte de conscience

Samedi dernier Anthony et Mélanie fêtaient leurs huit ans d’amitié. Pour l’occasion ils avaient réservés dans un restaurant assez discret dans une rue éloignés et non éclairés. Ce restaurant était l’idéal pour eux.
Mélanie était en avance de quinze minutes, elle décida d’attendre en savourant un verre de Bordeaux. Quarante-cinq minutes après Anthony n’était toujours pas là et ne répondait pas à son portable. Impatiente et énervée elle quitta le restaurant et rentra chez elle.
Le lendemain toujours pas de nouvelles. Il n’avait même pas cherché à la joindre. Mélanie décida d’aller chez Anthony. La mère lui dit qu’il n’était pas rentré depuis hier soir et qu’elle pensait qu’Anthony était chez elle. Les deux femmes inquiètes contactèrent la police pour signaler sa disparition. Elles passèrent leur dimanche à vadrouiller les rues à sa recherche mais aucune nouvelle. Lundi aux aurores, la mère d’Anthony reçu un appel lui informant qu’Anthony était en garde à vue pour l’accusation d’un meurtre. Pour elle cela lui était impossible. Mélanie et la mère d’Anthony arrivées au commissariat, allèrent à sa rencontre. Anthony demanda à s’entretenir avec Mélanie seul à seul. Mélanie était très affolé et n’arrivait pas à croire se qu’il s’était passé. Anthony lui demanda pardon et lui expliquèrent ce qu’il s’était passé.
Anthony marchait dans une rue sombre, non éclairé. Il pleuvait pendant l’hiver. Dans cette rue ils étaient trois. Une femme, un homme et lui. Les deux hommes étaient tous deux habillés en noir, avec un grand manteau, un bonnet et des gants. Anthony était sur le chemin du restaurant il courrait car il pleuvait et n’avait pas de parapluie. On courant il bouscula cette dame et celle-ci l’insulta. Les insultes étaient destinées au père d’Anthony. Anthony était un homme de colère maladive, quand il était en colère il n’arrivait jamais à se contrôler. Il avait perdu son père un moi avant et était vraiment toucher par cette perte. Par la suite