Dissert
Federico
G2C
12 septembre 2010
« Dans notre societé, être pauvre, c’est être étranger dans son propre pays ».
Une societé divisée en deux
La loi est la même pour tous. C’est ce qui est pourtant écrit dans les tribunaux. Elle s’applique à chaque citoyen de la même façon qu’aux autres. Dans ce cas on vous parle de personnes handicapées dans le besoin de recourir à une aide de l’Etat mais qui finalement n’en obtiennent pas. Ce sont généralement des personnes handicapées soit mentalement, soit physiquement à demander de l’aide. Malheureusement, dans la plupart des cas, ces personnes sont mises à l’écart et ne sont pas prises en considération. C’est ce que reporte également cette citation : « Dans notre société, être pauvre, c’est être étranger dans son propre pays ». Cela signifie que dans la société actuelle, si nous ne sommes pas reconnus par les autres du même pays que le notre, nous sommes donc exclus. C’est exactement comme être étranger dans son propre pays. Mais doit-on sérieusement appliquer cette règle à toutes les situations ?
En premier lieu, la drogue joue un rôle de dépendance à l’égard de l’individu. La drogue agit sur les neurones du cerveau, endommageant ceux-ci. Par conséquent , la personne se trouvera ensuite dans un état indépendant de sa propre volonté et agira non par conscience mais par ce que le cerveau sous l’effet de la drogue lui ordonnera de faire et se retrouvera donc exclue de toutes les aurespersonnes qui sont contre la drogue. Prenons l’exemple d’un jeune adulte, sans famille, sans rien et qui se procure de l’ecstasy. Sous l’effet de la drogue il agira contre sa propre volonté dans des actes hors-la-loi et sera donc mal vu par tout le monde. On peut donc dire que la drogue nous fait passer du bon au mauvais côté de la société.
En second et dernier lieu, c’est l’argent qui joue un rôle dans l’aggravation de la situation sociale de certaines personnes. C’est-à-dire qu'un citoyen sans moyens financiers ne recevra pas