Dissertation francais
Passage page 49-51.
J ‘ai choisi ce passage car je trouve ce passage important pour la vie de Antonio. C’est le passage qui change toute l’histoire.
La scène se passe dans une forêt épaisse, ce fut une journée très ensoleillé, les Shuares partirent à la recherche des malfaiteurs blancs qui détruisent la forêt avec leur machine.
-Les Shuares: Cachons nous ils arrivent!
-Les blancs: Nous allons commencer par cette route. Abattez ces arbres.
-Les Shuares: A l’attaque! Tuer les tous!
-Le chef: mais que se passe t’il? D’où sorte-t-il? Ah … je suis touché…
-Nushiño: Ah, je suis touché en pleine poitrine. Dépêchez vous il s’enfuit dans la foret ! Sale manière de partir.
-Antonio José Bolivar: Je suis le seul a bien connaitre les blancs je vais y aller, cela effacera la dette que j’ai envers vous les Shuares lorsque vous m’avez sauvé de la piqure de serpent.
-Les Shuares: Va et dépêche toi!
-Antonio: (en courant vers le blanc caché dans la forêt) Je vais t’avoir ordure! Tu as gravement touché mon ami, tu vas payer pour ton affront.
-Le blanc:(essoufflé) Ou sont les Shuares! Répond !
-Antonio José Bolivar: Ils sont de l’autre côté de la rive. Ne craint rien ils ne te suivent pas. Mais je voudrais savoir pourquoi tu as tiré sur ces pauvres gens?
-Le blanc:(ricanant) Ces gens ? Ces animaux! Vous voulez dire, ils nous attaquent sans aucune raison, tuent nos femmes et nos enfants, et quand ils nous attaquent en traitre lorsque nous coupons du bois.
-Antonio: Comment oses tu les traiter d’animaux! Ces gens sont comme toi et moi, c’est juste que…
-Le blanc:(l’interrompant) Comment ca? Tu veux dire que ces « gens » là, comme tu les appelles, sont comme nous ? Mais tu te trompes mon ami, c’est gens n’ont pas de maison, pas de vêtements, et pas d’âme.
-Antonio: (furieux) Assez j’en est trop entendu.
(Il lui décoche un tire de sarbacane. Mais le manque.)
Le blanc: Mais… que … pourquoi as tu fais cela?
-Antonio: Ces gens sont