Depuis 1978, la Chine est passé à une économie de marché, ouverte sur l’extérieure mais qui reste tout foi très contrôlée, sous l’impulsion de Deng Xiaping. Sa croissance est forte et s’inscrit surtout dans la duré, avec jusqu’à se jour une progression oscillant autour des 10/11% par an (www.chinecroissance.com). Mais cette croissance soutenue implique un certain nombre de sacrifices, notamment humains et environnementaux.

La République Populaire de Chine est toujours considérée comme un « état communiste » malgré son économie de marché. Il y règne un régime autoritaire qui impose la censure à sa population. Elle est qualifiée de « socialiste de marché » par Deng Xiao Ping. Dernier fait marquant, la catastrophe des TGV en juillet dernier sur le territoire chinois, faisant 40 morts et 200 blessés (www.pagtour.net). La population n’a pu avoir accès à l’information dans un premier temps. Un journaliste chinois aurait même été licencié pour avoir oser aborder le sujet. En censurant ce fait divers, le gouvernement chinois espérer que la technologie des transports chinois reste « exemplaire ». Les fins de cette censure sont donc d’ordre économique.

La seconde inquiétude soulevée par les spécialistes concerne l’écologie. En effet, pour entretenir sa croissance, la Chine a quelque peu maltraité son territoire. L’eau et les forêts se font de plus en plus rare (www.wikipedia.fr). De plus, la Chine est le seul pays à obtenir une « exemption » en ce qui concerne la réduction de l’émission de gaz à effet de serre. Elle est pourtant le deuxième pollueur au monde après les Etats Unis (www.radio-canada.ca). Mais la toute récente conférence internationale de Durban qui s’est tenue début décembre et qui s’est achevé le 10, a permit de mettre en place une suite au protocole de Kyoto. Elle a avant tout réussi à contraindre la Chine à s’engager à réduire l’émission de gaz, malgré la forte opposition de celle-ci tout au long de l’assemblé.

Pour entretenir sa forte