DE OLIVEIRA Benoît TS2 Lundi 22 novembre 2009 : Dissertation de Philosophie : Y A-T-IL QUELQUE CHOSE QUE L’EXPERIENCE NE PUISSE NOUS APPRENDRE ? Le fait d’apprendre quelque chose, nous permet de produire des informations sur le réel ; des savoirs faire, ou la constitution d’une connaissance. Apprendre c’est acquérir un savoir ou l’enseigner à quelqu’un. La notion de préjugé désigne ici, qu’on peut tout apprendre par expérience. Alors que la notion de présupposé est ici que l’expérience seule est incapable de tout nous apprendre. Donc on peut se demander, si la connaissance est fondée uniquement sur l’expérience ou si l’expérience a besoin d’être groupé à une autre fonction, une autre afin de tout nous apprendre ? Du coup nous obligeant à savoir si l’expérience est-elle enfin ce qui nous permet de connaître, c’est-à-dire de sortir de la croyance et d’atteindre le savoir ? On peut donc dire que certains aspects de notre expérience se font sur l’observation. D’autre part, tous gestes que l’ont produit au cours de notre vie sont bien le résultat de l’observation immédiate autour de nous du réel ; elle est aussi le résultat de l’utilisation des sens. L’expérience vécue nous donne par l’observation immédiate une connaissance suffisante de la réalité. C’est bien ce que nous dit le positivisme ioniens. Ce positivisme se décrit par une manière de pensée se fondant sur l’observation des faits. On peut donc dire que la science moderne est positiviste. Mais c’est aussi s’intéresser à la nature et aux causes des phénomènes naturels comme l’astronomie. Johann Gregor Mendel, (22 juillet 1822 - 6 janvier 1884), un moine et botaniste autrichien va développer au cours de sa vie une expérience se fondant sur l’observation immédiate. Mendel propose que les caractéristiques héréditaires des vivants sont gouvernées chacune par une double commande (une paire de gènes ou allèles) et que seule une sur deux est transmise au descendant par chaque parent.