Lecture des deux recueils « l’âme en fleur » et « Pauca meae » des Contemplations de Victor Hugo.

Léopoldine Hugo, peinte par Auguste de Châtillon en 1836, le jour de sa première communion.

Ce poème de Victor Hugo parle de sa fille, Léopoldine Hugo qui est décédée. Il raconte sa façon de le réveiller quand elle était petite, sa façon de jouer... Il parle de ce qu'elle aimait faire, ou avoir, comme Dieu, les fleurs, les astres, et les prés verts. L'auteur montre aussi sa tristesse à la fin du poème ou il dit : « Et dire qu'elle est morte! Hélas! que Dieu m'assiste ! Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste ; J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux. » Ce qui m'a plu dans ce poème est le fais que Victor Hugo se soit inspiré de sa famille, de son être le plus proche pour écrire un poème. Il parle de sa fille comme un rayon de soleil dans sa vie, ce qui, je trouve est beau pour un père. J'ai choisis ce tableau car il correspond tout à fait au poème écrit par Victor Hugo, tout d'abord, sur cette peinture, on retrouve Léopoldine Hugo ( la fille de Victor Hugo ) qui est la personne dont on parle dans le poème, on voit sur cette peinture qu'elle est entrain de lire la bible, ce qui s'en réfère au poème de son père : « Elle aimait Dieu ». Nous pouvons aussi voir sur cette peinture que sur la chaise est brodés des roses et que Léopoldine en porte aussi une sur ces cheveux ce qui est en accord avec le poème : « ...les fleurs, les astres, les prés verts, Et c'était un esprit avant d'être une femme ». La peinture d'Auguste de Châtillon et le poème de Victor Hugo représentent donc de nombreux points