Hocine Tachefine 1ère STi2D Vincent Leborgne
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Français
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Nous allons aborder deux questions sur le corpus de textes vu en classe. Premièrement nous verrons quelles formes (genres et formes de discours) empruntent les auteurs pour dénoncer la guerre, et deuxièmement nous verrons quels arguments ils avancent pour dénoncer la guerre.

Premièrement, on remarque un point commun aux quatre textes de ce corpus, ce sont tous des récits à la forme argumentative. En effet, pour dénoncer la guerre, Voltaire met dans la bouche de ses personnages des périphrases ou expressions détournées qui donnent une définition originale des réalités ou mettent en lumière leurs aspects négatifs : « Un fétu sur un tas de boue » qui ici montre un pays restreint et sans grande valeur, ou encore comme : « Animaux couverts d'un turban » qui voudrait représenter les Turcs et « Des fous de notre espèce couverts d'un chapeau » qui représente les Européens. Dans l’extrait « Sur l’eau », Maupassant utilise des mots simples et directs comme « La guerre », « se battre », « tuer » accompagnés d’exclamation, il utilise aussi la répétition comme si c’était une chanson il donne un rythme à son texte « Voilà ce qu’on appelle ne pas tomber dans le plus hideux matérialisme ». Dans « Guerre », Voltaire montre que l’égo peut avoir son effet sur la guerre, ici le prince réclame un territoire qui soi-disant lui revient de « droit divin », il montre aussi la stupidité des Hommes à « invoquer Dieu » pour leur guerre alors que les deux camps ont le même « Dieu ». Enfin dans le texte « Voyage au bout de la nuit » de D.Celine, on remarque que rien n’a changé depuis le moyen-âge, ici un lexique apparaît, celui de l’horreur « torture », « monstre », mais aussi de la maltraitance « engueulés, menacés », on remarque aussi une oxymore avec « fous