Dissertation
Dès lors, je reste tout bonnement fasciné par ces tribus indiennes du nord américain, les Cheyennes. C'est à mon plus grand étonnement que j'ai pu constater l'importance qu'ils vouent à l'art de la guerre. Le combat semble être leur seule occupation, il rythme leur qutoidien. Chaque guerrier est préparé physiquement et psychologiquement à attaquer l'ennemi lors de rituels d'avant guerre où ils revêtent leur tenue cérémoniale composée de peau animale, de plumes et de toutes sortes d'étranges breloques, et dansent sauvagement en poussant des hurlements barbares. Cela se révèlait être pour eux d'une nature inqualifiable et bien surprenante pour des Européens. Toutefois, les raisons qui les poussent à risquer leur âme sont bien différentes des nôtres. Ces peuples qui m'étaient encore inconnus ne se battent pas pour montrer leur puissance en étendant leurs terres comme par-deçà mais dans l'unique intention de préserver leur territoire de chasse. Je suis plus admiratif encore que la fréquentation de ces individus m'aie donné la connaissance d'une culture des plus éloignées de celle des Européens de par cette imortance infinie qu'ils accordent à leurs armes. Leurs boucliers en peau de bête bien tendue et ornés de somptueux motifs symboliques, de grelots et de plumes me paraîssait être trop précieux pour de tels circonstances qui néanmoins les rendaient humbles. En partant, cela restait d'une minutie irrépochable. Ils attaquaient l'ennemi avec des arcs et des flèches emflammées disposées dans des carquois de cuir tanné. Cependant, certains combats ce faisaient en coprs à coprs dint chaque coup porté à l'adversaire permattait au guerrier d'acquérir une plume sacrée à sa parure de guerrrier. Je restais dépourvu de toutes réactions face à cette acte de bravoure que nul Européen n'oserait accomplir. Toutefois, je plussois le fait qui même s'il me paraît encore barbare, que ces pleuples communiquent