Divers
Plusieurs thèses ci-dessous vont être analysées telles que les lacunes d’apprentissage, les correcteurs d’orthographe automatique, l’évolution de la langue, le fait que les jeunes lisent de moins en moins, …
Tout d’abord, il est essentiel de parler des lacunes d’apprentissage que les jeunes rencontrent tant à l’école primaire qu’à l’école secondaire. L’orthographe est la bête noire des élèves, pourtant son apprentissage est indispensable aussi bien pour la lecture, que pour l’écrit. Si certains enseignants utilisent toujours la dictée, d’autres pensent avoir trouvé de meilleures solutions plus pédagogiques, mais sont elles tout aussi efficace ? Tout le monde sait que non. L’orthographe est certes une chose difficile, elle grouille de règles souvent incompréhensibles pour les enfants, d’exceptions, d’accords,… et la liste est longue. Mais si de telles lacunes se rencontrent à la sortie des études primaires, les professeurs de secondaires ne se sentent que très peu concerné par ce problème : On favorise l’apprentissage plus culturel de l’élève en ignorant le souci de son orthographe. Les professeurs ne sont pas les seuls responsables. La création de décrets par le ministère de l’éducation national en est aussi en partie responsable, lorsque l’on lit que celui-ci ne veux plus pénaliser l’orthographe que pour le cours de français. De plus, nous essayons que les étudiants étudient de plus en plus de langues étrangères parfois au détriment de notre langue maternelle.
Ensuite, les jeunes portent beaucoup moins d’intérêts à la lecture qu’auparavant. Mais à qui la faute ? Nous pouvons encore accuser l’enseignement, l’éducation que donne les parents, mais la