Commentaire sur le discours de la misère de Victor Hugo
BROUILLON.
(refaire intro)
Intro : Victor Hugo est un auteur engagé en politique autant que dans ses écrits. En 184, il est député à l'Assemblé législative afin de soutenir une proposition de loi faite par De Melin. Dans cet extrait, il expose son avis personnel sur cette proposition qui est : la nécéssité d'abolir la misère. Par quels moyens Victor Hugo cherche-t-il a convaincre les députés d'agir contre la misère ? (pb) Nous allons pouvoir y répondre en observant une grande description du pathétique et un discour engagé contre la misère.

(I. une description pathétique) Dans le discours de Victor Hugo, nous pouvons remarquer une grande description du pathétique. Pour mettre cette description en avant, au fil des lignes il nous donne l'impression que la situatuation est proche dans l'espace et dans le temps. Tout d'abord avec les nombreuses répétitions du mots "faits" qui nous amène donc à ce que nous pensions que ces faits datent d'il y a peu de temps, tout comme les lieux géographique précis qu'il cite. La France, les faubourgs de Paris, Mont-Foucon qui sont des noms encore actuels à notre époque et les expressions temporelles comme "ces jours derniers" à la ligne 177 et "le mois passé" à la ligne 180 nous laisse penser que les évènements sont récents. De plus, il insiste sur la proximité des évènement aux lignes 163 et 164 à travers une oppisition ; "je ne dis pas", "je dis". Avec ce parallélisme de construction il affirme qu'il ne dit pas en Irlande, ni au moyen-âge mais en France, à Paris. Ce qui amène donc encore une fois, à la période à laquelle nous vivons. Mais il insiste aussi sur les conditions de vie misérables, en souhaitant nous montrer que les besoins vitaux des individus sont nombreux à ne pas être satisfaits. Le manque d'hygiène, la vie dans les lieux insalubres, l'absence de nourritures sont exprimés à travers de nombreux exemples ; "infecte", "fumier", "cloaque", "fanges",