DM FRANCAIS SHALLEN
J'ai intégré ce texte à partir de « De l'horizon, le soleil épandit sa bénédiction rose sur leur douce étreinte. » (ligne 7).
Se levant comme il le fait tout les matins, Shallen pris son boîtier et s'en alla. Triomphant sur la plage au sable fin qui lui chatouille les pieds. Il s'arrête, inspire l'air puis l'expire. Lentement, ça main se dirige jusqu'à son œil droit, puis le pose délicatement contre l’œilleton de son appareil. En souriant comme à son habitude, il mitraille le lever du soleil. Ravi, il continue son chemin et marche entre mer et terre. Il marche la tête haute. On peut le voir au loin à contre jour avec le soleil rouge juste derrière lui. Il est 7 heure, Shallen marche le long de la mer comblé. Le vent est doux, la mer envoie de petites vagues sur ses pieds. Il arpente la plage avec une démarche lourde, ses épaules sont fatiguées, ses jambes douloureuses, il boite. Le soleil se lève rapidement. Toujours bienheureux, il atteint une berge. Il toque à la porte. La main posée sur sa joue, une vieille dame ouvrit la porte et l'embrassa. Le vent berce la berge et fait craquer le bois de cette vieille bâtisse. Sans dire un mot la vieille femme se courbe comme le dos de Shallen. Il prend pleins de photo de la vue sur la mer et s'en vas comme une feuille qui s'envole en automne. Enchanté comme il est il continuera sa longue balade aux côtés de la mer pendant 3 heures. Il jonglera entre les tempêtes, jouera avec son talent et embellira le rose parfum chaleureux que nous offres son cœur. Il avance en traînant la jambe sur ce sable qui devient de plus en plus mou. Trouve un bout de papier à moitier arraché sur le sable. rencontre de Ras avec la belle prêtresse de Shaggley
Richard Allen Shaggley et Shallen se connaissent, ce sont de vieux amis. Il finira joyeusement sa balade matinale avec ses merveilleuses photos et une petite pensée pour ce cher Richard.