Document de science économique et social
La jeunesse de notre société actuelle n’est pas réelement plus violente, mais la médiatisation induit en erreur. En effet notre société tolère de moins en moins la violence, et se focalise sur la sécurité. Ce qui donne l’impression qu’une vague de jeunesse violente est née.
Si l’on observe les statistiques de l’année 2007-2008, on découvre que 12 élèves sur mille ont subis un accident et seulement 8.2% serait grave. Effectivement ces chiffres nous prouvent que les médias éxagèrent les informations recus pour que leurs auditeurs soient attirés.
Non seulement les médias répandent les cas de violence mais indirectement ils incitent à l’utiliser, en nous montrant dès notre plus jeune âge des films d’enfants qui volent, se battent, enchaînent les bêtises mais qui ont l’air très heureux même après s’être fait disputés par leurs parents.
Récemment quelques violences sur adultes ou professeurs font leurs apparitions, les médias décrivent ces actes sans que l’on sache réellement les conditions de cette attaque. Cela est décrit comme un scandale ! La population reste plus choqués par les violences envers les adultes car les médias insistent sur l’agressivité de l’élève ; étant donné que pour certaine personne il est plus grave de frapper un adulte que de frapper un enfant.
En réalité il est très difficile d’annoncer des statistiques fiable sur les cas de violences, puisque tous les cas ne sont pas recensés et non pas la même importance.
C’est pour cela que Sivis ne retient désormais plus que les accidents grave c’est-à-dire (discrimination raciste ou sexuelle, usage d’une arme, contraintes ou menaces, blessures ou préjudice financier justifiant une plainte ou un conseil de discipline. Par conséquent il faut que l’accident soit réellement grave tel qu’il est des caractères racistes ou bien que