Dossier art appliquer bac pro

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A travers l’histoire, les tatouages ont souvent été symbole d’appartenance, que ce soit à une tribu, un gang de rue ou de motards. Mais avant leur popularité croissante, les tatouages étaient la province des exclus de la société : les marins, artistes, forains ou hors la loi. C’était un peu comme des cartes routières de leur vie : qui ils étaient, ce qu’ils avaient fait, leurs amours, leurs désirs, leurs peines et leurs douleurs.

Tribu (Maori) :

Ta moko était une forme d’art chez les maoris, le tatouage permettait aux individus d’affirmer leur identité social au sein de leur tribu. Ainsi, les maoris de haut rang avaient le visage complétement tatoué. Seule les enfants et les esclaves n’étaient pas tatoués. Chaque maori avait un tatouage inédit et unique qui correspondait à leur signature.

Ta moko commencer dès la puberté et était accompagné de nombreux rites et cérémonies. Les hommes se tatouaient principalement la tête considérée comme la partie la plus sacrée du corps, mais aussi parfois les fesses et les cuisses. Les femmes, elles, se tatouaient généralement les lèvres, le menton et parfois le front.

Gang de rue :

Un gang de rue est un groupe partageant une culture et des valeurs communes. Le tatouage en fait partie cela peut devenir une norme. Un sentiment d’appartenance et de protection contre les autres gangs. Le mot « gang » porte généralement une connotation négative ce qui porte préjudice aux tatouages.
Leurs tatouages sont plutôt des messages de haine, leur nom de gang, leurs croyances, leur actions au sein du gang

Club de motards :

Ils sont souvent appeler « Biker », ils se déplacent en bande sur leur choppers. Les clubs de motards montrent leurs appartenances au club par leurs façons de s’habiller, leurs styles de moto mais surtout par leurs tatouages. Les emblèmes et les tatouages servent à afficher le statut des membres de l’organisation. Les « gangs de motards » les plus connu sont les « Hell’s angels » et leur rivaux les «

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