Qu'est ce qui ressort du texte sur le droit de la concurrence d'un point de vue subjectif. Quelles sont les difficultés énoncées ? Comment décrire le droit de la concurrence ?

Le droit de la concurrence est pour ma part une définition encore peu précise. Afin de comprendre plus spécifiquement son rôle et ses objectifs, je vais présenter la concurrence et la libre concurrence.
Du point de vue de l'auteur, la concurrence présente un certain nombre d'avantages et d'inconvénients. Dans un premier temps, il la décrit comme une politique anti-inflationniste qui permet de proposer aux consommateurs des prix bas. De plus, elle entraîne un dynamisme puisqu'elle stimule les entreprises. Cet aspect de compétitivité est également présenté comme néfaste par l'auteur. En effet, c'est le plus fort, le plus compétitif, qui l'emporte sur toutes les autres entreprises ce qui met en avant une politique sans véritables règles, une politique du "plus fort". De ce fait, ce sont les plus grosses institutions qui dictent leurs lois. La compétitivité est également un facteur défavorable d'un point de vue social (exemple des licenciements pour limiter les charges et favoriser la baisse des prix). D'après cet auteur, la concurrence est donc auto destructrice, elle se tue elle-même.
A travers l'histoire, la France a connu différentes périodes qui ne définissaient pas exactement de la même manière le droit de la concurrence. Dans un premier temps, le corporatisme fut mis en avant. Ce mouvement, aussi appelé Ancien droit, était favorable aux ententes entre professionnels. Plus aucune concurrence n'était possible. Dans cette lancée, le dirigisme étatique apparut. C'est une prolongation du corporatisme mais dans ce cas c'est l'Etat qui dicte les règles pour éliminer la concurrence entre ces professionnels.
Ces périodes de non concurrence ont duré jusqu'à la Révolution Française en 1789. Cette nouvelle ère fait apparaitre la liberté du commerce et des industries. Elle interdit également le