Droit pénal
Introduction Foucault «Surveiller et Punir», supplice de Damien, il avait tenté de blesser le roi, il est donc condamné pour parricide. En 1757, Damien est condamné au supplice public, ce qui permet de rappeler que le Roi a le monopole de la justice pénale.
30 mai 1791, Discours de Robespierre devant l'Assemblée. Il affirme que la peine de mort est injuste. La peine capitale sera maintenu dans le code pénale révolutionnaire de 1791, mais elle est toutefois humanisé. Tout condamné à mort aura la tête tranché, la guillotine est un progrès dans l'histoire du droit pénal.
Badinter, 17 septembre 1980, demande l'abolition de la peine de mort et qu'il obtiendra par la suite. Le 9 octobre 1980, la peine de mort est abolie.
Le droit pénal a vocation à punir, il a vocation a atteindre la personne dans son corps et sa dignité. On a même dit du droit pénal qu'il est un droit odieux. Cette instrument a été corrigé par le biais de l'idéal des droits de l'Homme. On a donc un droit pénal plus humaniste. Mais il permet aussi d'enfermer la personne définitivement quand la personne est condamné à perpétuité et même quand la personne est présumée innocente.
Quand on regarde le droit pénal d'un pays donné on a le véritable étalon des libertés individuelles dans ce pays. Le droit pénal va porter un jugement sur un comportement humain. Le droit pénal est ramené à la dialectique du bien et du mal. Le droit pénal est souvent réduit à un droit répressif, dangereux, un peu soupçonné car il vient contrôler les individus et car il met en danger parfois les libertés individuelles. Il y a d'autres droits qui s'intéressent aux phénomènes criminels. Ces domaines qui viennent en plus du droit pénal, sont la sociologie, la philosophie, la psychiatrie
(Pierre Rivière ayant tué ma mère, ma sœur, mon frère), la criminologie. La criminologie, c'est la science du crime, l'étude du crime, comprendre le crime, le fameux passage à l'acte.
1)L'évolution du droit pénal
Le phénomène