ANDRE GIDE : LES FAUX MONNAYEURS
Biographie : André Gide nait en 1859. Il es issu d’une famille bourgeoise. Après le baccaleuréat, il commence à écrire des œuvres d’inspiration symboliste tel que Le cahier d’andré Walter ou encore Le traité de Narcisse (1891).
Ses œuvres d’abord confidentielles rompent ensuite avec ce symbolisme. Elles célèbrent la censualité : Les nourritures terrestres (1897) mais également les conséquences négatives de celles-ci : L’immoraliste (1902).
Jusqu’en 1920, elles alternent thèmes mystiques, profanes aisi que la publication de souvenirs (La porte étroite 1909, Les caves du vatican 1914, Si la bête meurt…).
Il publie Les faux monnayeurs en 1926. Prix nobel de littérature en 1926 également, André Gide est alors un écrivain consacré. Il meurt d’une congestion pulmonaire le 19 février 1951.
L’œuvre : Les faux monnayeurs d’andré Gide est un roman du XXe siècle. Il relate de l’histoire du jeune Bernard Profitendieu (dix sept ans), qui à la suite d’une découverte sur ses véritables origines, décide de quitter la maison bourgeoise familiale…
Gide illustre dans cette œuvre les idées sur l’homosexualité. Elle se caractérise également par des ruptures temporelles ainsi que la multiplication des points de vue. De ce fait, l’auteur se détache des traditions littéraires du roman.
Ce roman est considéré par la suite comme l’un des plus significatif du XXe siècle, lui-même précurseur de mouvements littéraires tel que le nouveau roman.
En 1950, ce roman fut inclus dans la liste du grand prix des meilleurs romans du demi-siècle.
Idée Générale (du texte) : Bernard Profitendieu ayant appris qu’il n’appartenait pas réellement à la famille qu’il croit depuis toujours être la sienne, décide de quitter la maison familiale. Mais avant de partir, il adresse une lettre à son « père » .
• Plan du texte : Ligne 1 à 8 : Annonce de la découverte.
• Ligne 8 à 15 : Procédé d’argumentation : Il ne doit rien à personne.
• Ligne 15 à 29 : Bernard se soucie de