Commentaire du document d’internet.
Dormann. B, «Laurence Ferrari et Audrey Pulvar déchues de leur carte de presse : le journalisme a-t-il vraiment vocation à rentrer dans la vision sclérosée qu’en a la CCIJP?», (Atlantico.fr, 1er juin 2013)

Par Laura CERÓN
Échange- Colombie.

Le debat aujourd’hui sur le statut d’un journaliste en France apparaitre d’un manière subtil mais tres important. Dans le texte ecrit par le journaliste Benjamin Dormann on peut remarquer une problematique sur les privileges et restrictions d’un journaliste, ainsi comme son travail dans la societe.

Ecrit dans le portal atlantico.fr le 1er juin 2013, Dormann parle sur le situation specifique de deux journalistes : Laurence Ferrari et Audrey Pulvar, dépouillent de ses cartes de presse par le travail realisé dans le programme le « Grand8 ».

Pour approfondir dans cet sujet, en premier lieu on verra l’argumentation présenté par Benjamin Dorman sur le statut des journalistes professionnels, les differents définitions qui ont été donné à les journalistes et l’analyse sur la carte professionnel. Après, on va parler du terme inclus pour l’auteur « infotainment » et son importance dans les médias aujourd’hui.

Ensuite, on va centrer en la théorie et la legislature sur le statut d’un journaliste professionnel en France. Le commentaire s’affiche sur deux aspects importants : La conception de journalistes selon la entreprise ou il travail , les agences de presse comme espaces pour le travail de tel journaliste, et aussi les publications qu’il fais pour cet entreprise. Il faut dire que ces categories on va les trouver insuffisants pour la seule definition de journalisme, ainsi comme des categories imprecises pour lui definir et definir son role.

Finalment, il reste signaler les conclutions sur cet sujet. La postulation des nouveaux réformes a la jurisdiction et aussi la bien mise en place des nouveaux termes qui existen dans les médias, non seulement