Introduction :

Dans le cadre de notre exposé d’économie sociale et solidaire, nous avons travaillé sur la jeunesse, plus précisément sur l’inclusion sociale des jeunes par l’engagement citoyen.
Selon une étude menée par l’INSEE sur l’année 2013, 1,9 millions des jeunes âgés de 15 à 29 ans ne sont ni à l’école, ni en emploi, ni en formation. Parmi ces jeunes, 900 000 se sentent « délaissés »par les institutions scolaires ainsi que par le marché de l’emploi. Ce sentiment d’insécurité face à l’emploi ne fait que s’accroitre depuis la crise économique de 2008. En effet, de nombreux jeunes sont en décrochage scolaire, suite à cela différentes structures ont vu leur apparition pour les accompagner et les aider à s’insérer dans notre société à travers le volontariat.
Aujourd’hui, le gouvernement souhaite favoriser les différentes formes d’engagement des jeunes ayant pour motivation de servir l’intérêt général. Nous déterminons l’engagement citoyen comme le fait «d’être engagé, d’aller au-delà de l'individualisme pour œuvrer concrètement à l'amélioration de la société et au développement de la collectivité aux niveaux local, régional, national ou international. Un citoyen engagé, c'est donc quelqu'un qui a le souci des autres et conscience d'appartenir à une communauté. Il s'investit au sein d’une association, d’un syndicat ou d’une structure publique volontairement et souvent bénévolement dans des actions non rémunérées en dehors de son temps professionnel et familial dans le but de contribuer à l'évolution et l'amélioration de la société ».1
Il existe différents dispositifs mis en place pour effectuer cet engagement citoyen. Nous pouvons nous demander si ces derniers sont efficaces et s’ils apportent des réponses fiables aux difficultés sociales que rencontrent les usagers.
Afin d’apporter des réponses à ces questions, nous avons rencontré plusieurs professionnels ainsi que des volontaires. Nous vous présenterons dans une première partie les différents