Ecrit d’invention sur l’albatros de Charles Baudelaire
C’était une journée du mois de mai, une journée de pêche banale qui commençait bien. Mon équipage et moi étions partis la veille pour arriver au « spot » comme on l’appelle entre nous , cet endroit secret que seul l’équipage connaissait. Ce lieu inconnue de tous était situé au milieu de l’océan Indien, où vivaient une dizaine d’espèces de poisson dont une qui nous intéressait particulièrement, l’espadon. Ce poisson très convoité par les familles bourgeoises, nous permettait lorsque nous avions fait une bonne pêche de vivre convenablement et donc de vivre beaucoup mieux que nos confrères. Depuis le veille, nous avions eu mer d’huile ce qui nous permettais d’avancer rapidement et d’arriver une heure en avance le lendemain par rapport aux autres sorties. Ce matin là nous avions déjà capturé deux espadons, nous espérions en capturer le triple voir le quadruple car la mer étalée et le ciel bleu nous le permettait. Deux heures après l’arrêt du bateau, nous jouions aux cartes attendant une touche, âpres une partie de contrée j’attrapais le mal de mer et décidait de me reposer et de regarder la ligne d’horizon. Soudain j’aperçus au loin une forme compacte qui se rapprochait de nous, je n’y prêtais pas attention pensant que le manque de sommeil me jouait des tours. Insistant, je compris que ce qui s’approchait étaient en fait un groupe d’oiseau, au même moment il y eu une touche et le capitaine me criait dessus pour me dépêcher, perturbé par ma découverte je n’avais pas le temps de remonter le fil assez fort, le poisson brisa la ligne… tout l’équipage était avec moi sur ce coup et j’avais échoué, le capitaine pris la parole et me dit tout ce qui lui passait par la tête, énervé il m’insultait, on aurait dis qu’il ne se contrôlait plus, perdre un poisson comme celui-ci représentait une perte importante et un pauvre mousse comme moi n’était pas assez prés pour ce genre de situation. Pour me défendre, je