Edgar morin
A votre avis, la famille Bouamazza est-elle présentée dans le téléfilm comme une famille intégrée ou non selon la définition d’Edgar Morin dans la préface au livre 31, rue de la République d’Abderrahmane Boufraine et de Vincent Migeat?
L’intégration des Maghrébins en France est une idée très complexe est, cinquante année après la fin de la guerre, elle restes toujours pertinent. « Aicha » est un film que nous montre la vie quotidienne d’une famille algérienne ghettoïsée. Cette famille, de nombreuses personnes, fonctionner depuis longtemps dans les banlieues de Paris. Mais de fonctionner dans un autre pays, c’est à dire d’être intégrée ?
En abordant cette question il faut étudier les deux générations de la famille, leurs rêves, leurs habitudes et leurs interactions. Surtout, il faut considérer les moyennes d’intégrer en France et si cette famille ont réussi.
En abordant cet question je voudrais tout d’abord définir l’intégration. Selon moi,
L’intégration est le processus qui permet à une personne de se rapprocher et de devenir membre d’une autre nationalité par l’adoption des normes de son système social et respect de ses valeurs. Surtout ce qui me paraît importante c’est que l’intégration ne peut plus se réduire à l’assimilation, et on perd ses caractéristiques culturelles pour accéder à sa nouvelle identité française.
Le film « Aicha » nous montre que on peut sauvegarder leur identité propre et exister bien en France. Considérez, par exemple Aicha qui arrive au premier jour de sa nouvelle travail en portant un collier islamique mais, autrement, elle s’est habillée, parle et travaille exactement comme les autres.
Il me semble que les parents d’Aicha sont bien intégrée, parce qu’ils parlent la langue, le père travaille, la mère a des amies françaises, elle regard la télévision et écoute la radio français et apprend de conduire. Même si ils ont bien adapté, ils sont, encore vraiment Algérienne. Prenez si vous voulez bien l’exemple de la