Eldorado de laurent gaudé
Résumé :
Le commandant Salvatore Piracci, officier de marine, donna une arme à une immigrante du navire Vittoria de 2004, afin qu’elle puisse tuer Hussein Marouk qui avait abandonné le navire.
Salvatore partit avec son équipage, à la recherche de cinq barques d’émigrants. Un des clandestins lui demanda de le cacher, il refusa. De colère, il gifla le commandant des Lybiens ayant abandonné les barques. Il alla se réfugier dans le cimetière de « L’Eldorado ». Peu après, il reçut une convocation dû à son mauvais comportement donc il décida d’arrêter son métier. Il partit direction La Lybie puis prit le bus pour Ghardaïa. Le bus s’arrêta et le chauffeur demanda de l’argent à chacun.
Dans un camp, un homme racontait que Massambolo était le Dieu des émigrants et qu’il veillait sur eux. Salvatore s’aperçut que sa vie n’avait plus de sens depuis qu’il avait rencontré cette femme à Catane. Il se versa de l’essence sur le corps. Un homme voulut l’arrêter. Salvatore s’évanouit.
Pendant ce temps, deux frères africains, Jamal et Soleiman, s’apprêtaient à quitter leur ville. Ils passèrent la frontière. Soleiman partit seul car son frère était malade. Il monta dans un camion, direction l’embarquement. Hélas les hommes du camion volèrent les émigrants. Soleiman voulut se rebeller. Les autres s’en allèrent et Soleiman partit avec Boubakar (le seul restant) vers l’Espagne.
Soleiman et Boubakar se dirigèrent vers Ghardaïa. Salvatore Piracci se retrouva lui aussi à Ghardaïa quand quelqu’un lui demanda « Massambolo ? ». C’était Soleiman. Salvatore repartit sans savoir où il allait. Alors que Salvatore allait traverser la route, il se fit renverser par un camion et mourut. Soleiman et Boubakar essayèrent de passer la dernière barrière européenne. Ils furent amenés dans un centre de détention par camion.
Un des personnages principaux : Salvatore Piracci
Portrait physique : Visage usé, yeux cernés.
Portrait moral : Solitaire. Distant avec ses amis,