Electre,
Bref résumé des chapitres de la première partie.
1) Icherzählung de type confession « je » qui se rapproche de la narration et par là du mot de l'auteur. Justification incessante, le personnage est en proie à sa propre indécision: non incarnation de son être il se compare même à un animal(la souris: allégorie du temps qui ronge). On peut également rapprocher ce passage de la métamorphose de kafka.
Il s'agit d'un homme ancré dans son temps qui soutient un point de vue critique: idéologue porteur d'une idée qui lui est propre cf « l'homme intelligent du 19eme siècle »( page13) mais qui sous entend le mot de l'auteur on parle alors de bivocalisme, parodie: de la rage de dent avec un mélange comico-sérieux, critique superstition + médecine. orgueil tout à fait admis par le personnage. Allusion au sous-sol qui est associé a st Petersbourg.
2) nécessité du dialogue, il prend à parti l'autre.
Les parenthèses sont là pour signifier un mot coup d'oeil sur autrui mais également une pensée qu'il se fait à lui même. ( prend en compte la tierce personne qui peut lire dans sa pensée ? L'auteur?
Le lecteur?) villes préméditées qui s'opposent aux villes spontanées et qui font allusion à la conscience de l'homme. Données sociales mises à la portée du personnage avec lesquelles celui se nourrit et s'oppose par là aux homme d'action. P est une ville préméditée.
Nous expose le dessein de son écriture, tel l'auteur d'un texte (mise en abime) : comprendre la jouissance dans la conscience de soi , de son propre abaissement.
S' auto-définit, de façon donc subjective il se connait parfaitement. On est dans l' auto-expression.
Le personnage est réellement autonome.
Contradiction interne: « me croirez- vous? » se pose lui même le problème de la conscience.
Page 17: « j'ai un amour propre effrayant » il parle tout en s'adressant à lui même et tout son discours est déterminé par sa sensibilité au mot d'autrui: plaidoirie, homme