Point de vue Moussa SAIDI

Personnellement, et s’agissant de la politique de l’auto emploi au Maroc, une stratégie doit être élaboré dans les plus brefs délais et ce via les considérations macro :

- de la nouvelle réalité que vit et vivra le Maroc au niveau local, régional (Maghreb, Pays méditerranéens, pays du golf…), mondial ou international (mondialisation, ouverture des marchés, libre échange Maroc-Turquie, Maroc-USA) ; - de la crise financière des plus sévère; qui pourrait être bénéfique dans la mesure où des capitaux étrangers peuvent venir booster la croissance et le développement de nouvelles filières, comme c’est le cas du projet Nissan–Reenaut ; de grands investisseurs maghrébins tel la Société tunisien (à Tanger et Kénitra), des investisseurs du moyens Orient (confiance dans la stabilité du pays et rendements considérables des capitaux investis..) ; - …

Les considérations micro, quant à elles tiennent :
- à la réalité des PME mais aussi au nouveau cadre que le Maroc voudrait formaliser et encourager les TPE (Très petites entreprises) étant donné leur rôle socioéconomique mais surtout sa conversion à l’informel (là un grand effort à réaliser car il est surtout question de les convaincre à adhérer au secteur formel). Se posera alors la question des motivations! A ce niveau leurs réalités organisationnelles et institutionnelles sont au centre de cette question. Celles-ci ont trait aux considérations suivantes : - Motivations financières : système de financement de leurs activités (crédits et appuis…), imposition : exonérations tarifaires et fiscales (Taxes, TVA, Impôts…)…. - Encadrement organisationnels : encadrement en ressources humaines et financement de certaines actions, formations régulières sur les secteurs respectifs, appuis à la recherche de marchés où écouler leurs produits (ou services) d’où l’organisation de foires et de rencontres….

En outre, un secteur institutionnel des plus porteurs qui