Un certain jour ils seront des Espagnols de séance plénière droite. Espagnols du futur, nouveaux espagnols. Ils sont arrivés du Mali, il unit des terres les plus pauvres que l'Afrique, et ont eu la chance de pouvoir le faire par la voie légale, sans confronter les hasards des voyages dans patera que tant de fois terminent en décès ou rapatriement inévitable.
Ce sont des étrangers immigrants comme ceux qui ont contribué en 2001 dates du dernier recensement, que registre une augmentation de deux millions d'habitants durant dix des années à donner lustre au mirage dont il n'y a pas danger que diminuez et il vieillisse la population.
Beaucoup de démographes créent inévitable le vieillissement de la population à moyen et à long terme, en raison du fort déséquilibre générationnel qui remonte au boom baby de des soixante et soixante-dix (de natalité desbocada) et de l'investissement postérieur du processus jusqu'à aujourd'hui même, avec le plus petit taux de fécondité, avec l'Italie, de l'UE : 1.26 fils par femme en âge fertile.
Selon les sociologues, les immigrants, qui arrivent avec des habitudes sociales et culturelles très enracinées et différentes, terminent en les adaptant progressivement à ceux du pays d'accueil, en réduisant, par exemple, le taux de fécondité. Si naissent aujourd'hui tant de fils d'étrangers il est, surtout, parce qu'ils arrivent dans plein âge fertile.
Les projections d'ici 2050 sont incapables de refléter maintien ou augmentation modérée de la population sans une récupération de fécondité et sans un flux continu et un notable d'étrangers : quelque 160.000 par an. Les experts indiquent que « le j'équilibre seulement il peut être obtenu par l'arrivée d'immigrants, qu'ils augmentent la population directement, ils apportent davantage de naissances et ont moins de décès, grâce au fait que la composition par des âges est maintenant très propice pour la fécondité.
Avoir un fils il est, fréquemment, une décision de paire, mais les difficultés