La haute saison touristique s'approche et l'Espagne part pour nous remplir d'étranger et il faut dire heureusement. Cependant, ce tourisme massif et bon marché qui nous envahit, menet par les tour operators et les compagnies charter produit un déplaisir et un chagrin. Par une poignées de markes, de couronnes ou de livres, avec lesquels à peine ils peuvent acheter dans ses pays un merlan ou une bouteille de güisqui, des centaines de milliers d'étrangers se précipitent sur notre pays dans les groupes compacts qui sont conduits dans des avions et des autobus et déposés aux centres et des hôtels appropriés, érigés sans mesure et sans considération par toute la côte le sud et levantine et des archipels baléare et canarie.
Les jours où il n'y a pas de soleil - parce que ces choses peuvent arriver, malgré les serments par écrit des tour operators - ils(elles) mettent les groupes dans des autobus et les amènent à visiter un monument local, ayant beaucoup de soin qu'aucun composant du groupe ne s'égare et il lui arrive d'acheter un souvenir ou de s'amuser à regarder l'artisanat local. Parce que tout est pensé et repensé. Le peu d'argent qu'apportent ces touristes qui viennent dans une masse, est prévu qui les laissent dans le lieu où ils sont logés, les « hôtels » – si on peut les appeler ainsi - inventés exclusivement pour les groupes.
Ces complexes hôteliers, qui ont mis en pièces les meilleures côtes et les îles espagnoles, sont stratégiquement localisés endehors des aires peuplées, isolés totalement. À chaque mouton qui arrive il l'oblige à lleur acheter les bons avec lesquels il pourra après acquérir de tout, depuis des boissons, des cigarettes ou des produits d'alimentation ou de cosmétique, dans les mini-supermarchés qui contiennent ces complexes hôteliers. Ils disposent aussi des piscines, saunas, des discothèques, des courts de tennis, des salons de coiffure, des restaurants, des machines à sous, des garderies d' enfants et tout l'approprié depuis un sport dans