Essai critique sur tagore
Groupe: Rouge
Littérature et imaginaire
Essai critique sur Tagore
Remettre à
Yves Laroche
Remettre le :
25 novembre 2009
Département de littérature
Littérature et imaginaire
Cégep Sainte-Foy
Philippe Boivin 25 novembre 09
Groupe Rouge
Essai critique sur Tagore
Dans le cadre de mon deuxième cours de Français, nous devions aller voir un récital sikhiste qui clôturait la semaine des religions, dans une ambiance festive. Ce récital avait pour but d’explorer, tout d’abord, le sens des mots « religion » et « sacré », la réflexion du sacré dans nos vies, faire voir le caractère sacré de la poésie, jeter un pont ente l’orient et l’occident et, finalement, faire découvrir la culture et religion sikh. L’origine du sikhisme est due à l’insatisfaction de Guru Nanak, par rapport aux philosophies et croyances, de l’islam et de l’hindouisme. Nanak fonda le sikhisme à la fin du quinzième siècle au Pendjab, dans le nord de l’Inde. Il devint le premier Guru de cette religion, suivit par neufs autres. Le onzième Guru est le grand livre sacré, Le Guru Granth Sahib. En 2001, près de 60% de la population du Pendjab étaient sikhs. C’est une religion très ouverte d’esprit qui prône l’égalité entre tous. Lorsque la fin du récital approchait, le groupe Galitcha est monté sur scène. Il s’agit d’un groupe originaire d’Ottawa qui a été fondé par un sikh. Ce groupe fait de la musique folklorique indienne mélangée avec des influences occidentales. Les mélodies rythmées ont fait danser plusieurs personnes présentes qui ne s’attendaient pas du tout à ça. Pendant ce récital, il a été question de Bhair Vir Singh, l’interprète moderne du sikhisme. Il cultive la religion de la beauté, comme le poète Tagore.
Dans son livre « Les oiseaux des passages », Tagore aborde divers thèmes dans ses aphorismes, dont la beauté. Un aphorisme dit : « Laisse à la vie sa beauté de fleurs d’été, à la mort sa beauté de feuilles