Etude de marché - cosmétiques bio
SOMMAIRE
SOMMAIRE1
INTRODUCTION2
I – DÉFINITION DES COSMÉTIQUES BIO3 A) Qu’appelle-t-on « cosmétique biologique » ?3 B) Définition du besoin4 C) Le marché global du bio4 D) Le marché global des cosmétiques5
II – LE MARCHÉ DES COSMETIQUES BIO6 A) Un marché en « phase de lancement »6 B) Les segments du marché des cosmétiques bio6
III - LES ACTEURS DU MARCHÉ7 A) L’offre bio7 a) Les producteurs. 7 b) Les distributeurs. 8 c) Les concurrents. 9 A) La demande9
IV – ANALYSE DE L’ENVIRONNEMENT11
CONCLUSION14
BIBLIOGRAPHIE ET CYBERGRAPHIE15
ANNEXES16
INTRODUCTION
Depuis toujours, les plantes ont joué un rôle essentiel dans l'histoire de l'Humanité. C’est au XXème siècle que les fondements de la cosmétique biologique ont été bousculés au profit de cosmétiques élaborés à partir de parfums de synthèse, de dérivés pétroliers, ou de stabilisateurs d’émulsion chimiques.
Mais avant l’avènement de l’industrialisation, la cosmétique était végétale et 100% biologique, et les preuves de son efficacité remontent à plus de 2000 ans.
Déjà en 3000 avant JC, les femmes égyptiennes étaient très au point sur les soins cosmétiques, elles s’enduisaient d’onguents parfumés à base de végétaux (huiles végétales de palme, d'olive, de noix, mélangées à des herbes aromatiques) afin de se protéger des méfaits du soleil.
A l'époque romaine, les femmes se poudraient le corps avec de l'amidon de riz et se coloraient les joues au carmin. Pour prendre soin de leur visage, elles utilisaient des cataplasmes à base d’orge ou encore de miel, et le jus de raisin était déjà soupçonné efficace pour lutter contre les rides.
Au Moyen-Âge, les femmes préservaient leur peau avec des masques à base d'argile, d'amidon et de miel.
Mais c’est au XIXème siècle, que l’on découvre que propreté et santé sont