Etudes de cas
Maria Teresa, ancienne gérante de la station service en question gère de manière humaniste et en confiance avec son équipe de travail tandis que son successeur Vincent MacMurdo voit la supervision et la gestion de manière plus traditionnelle par la méfiance et l’utilité et la neutralité des chiffres de production. Le problème se crée lorsque l’équipe habituée à fonctionner avec le système de Maria Teresa se voit confronter à des règles et procédures qui ont toujours existées mais qui sont mises à application que sous le successeur de cette dernière.
La pertinence du contrôle exercé dans les processus des deux types de gestion est l’aspect central de la situation. Ce contrôle peut s’effectuer au niveau de l’environnement externe de l’entreprise visant à atteindre le but premier de l’entreprise en analysant les variantes externes et leur impact. Mais aussi, ce contrôle peut s’effectuer au niveau des facteurs internes de l’entreprise. En somme le contrôle peut servir à rechercher l’efficience, la recherche de la performance, de la productivité, et de l’augmentation de la capacité de rendement ou bien la recherche de l’efficacité, recherche de l’utilité dans les résultats.
Dans les deux philosophies de gestion utilisées par les personnages, il y a des forces et des faiblesses. Il s’agit d’être conscient de ce qu’il en est pour atteindre les objectifs de l’entreprise sans oublier de tenir compte des employés comme agents de changement et d’adaptation. Une entreprise n’existe pas sans ses employés mais des employés sans cadre réglementaire et décisif ne constituent pas une entreprise non plus.
L’exemple de management présenté mise la contextualisation. Cet exemple qui a marché dans un contexte de fléxibilité a échoué dans un contexte de rigueur. Le