On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans |

1. On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans (p.11 – 18)
Barbara arrive au centre Les Pervenches. En arrivant, Elle voit un garçon aux cheveux noirs, bouclés, à hauteur des épaules. Elle entre dans le centre entre deux regards. Celui du père et celui de cet inconnu qui l’attire.

Depuis l’enfance, elle rêve de sa vie. Elle veut être une fille que l’on respecte, que l’on aime. Elle rêve du jour que le prince viendra. Il y a 2 cavaliers, en haut d’une falaise. Il y a des prairies derrière eux, et la mer et le coucher du soleil devant eux. Mais elle sait que cette image est impossible. Barbare est une fille très incertaine, elle n’aime pas l’idée que l’on l’aime, elle est vierge, elle ne s’est jamais trouvée jolie, mais elle attire toujours les regards.

Avant d’aller au centre, elle est allée voir un psy parce qu’elle est anorexique et pour calmer tout le monde. Le psy lui a donné le choix: le centre de repos ou l’hôpital psychiatrique.

2. Sous les tilleuls verts de la promenade (p.18 – 31)
Au centre, Barbara a rencontré une fille, ni très jolie, ni très fine, et très blonde. Elle s’appelle Sophie. Elle est au centre pour sa boulemie, elle doit maigrir. Deux jours après l’arrivée de Barbara, le garçon mystérieux a parlé avec elle dans la cantine. Il demande pour aller avec lui dans sa chambre et lire ses cahiers de poèmes. Le garçon s’appelle Antony et il a vingt-huit ans. Jim Morrison est son dieu de musique, mais Barbara ne le connait pas. C’est une autre époque.

Elle revient à sa chambre pour lire les poèmes. Puis elle va se balader avec Sophie. Après le dîner, Barbara et Antony s’installent pour discuter dans la salle de musique. Antony était effrayé quand Barbara lui dit qu’elle a dix-huit ans.
Barbara monte dans sa chambre au cinqième étage, et après elle redescend vers la sienne au premier. Elle lui donne son livre et ils ont commencé à bavarder. C’est là que tout a commencé. La nuit du 6