La littérature du XXe siècle a été profondément marquée par les crises historiques, politiques, morales et artistiques. Le courant littéraire qui a caractérisé ce siècle est le surréalisme, qui est surtout de la poésie du théâtre, mais aussi l’existentialisme, qui représentent également une nouvelle philosophie. La source première chez les artistes de ce siècle est en rapport avec les conflits politiques de l'époque. La guerre est ainsi présente de plusieurs façons aussi bien dans la poésie et théâtre que dans les romans. En France, le Nouveau Roman ne concerne que peu d'écrivain comme Eugène Ionesco est ses nombreux compatriotes écrivains qui s’interrogent sur l’influence, les effets psychologiques de l’homme. En outres, cela amène à vouloir comprendre l’affirmation qu’Ionesco voyait ces fanatiques sous les traits de rhinocéros et qu’il se voyait lui-même comme «le dernier homme dans cette île monstrueuse» et il se définit également comme «une anomalie, un monstre». A cette double définition qui porte atteinte à la dignité humaine.
De prime d’abord, l’extrait de l’œuvre présenté au I et II acte des situations étonnantes et choquantes des personnages. Qu’en à Jean, il ne réalise pas à ce qu’il croit avoir vu dans la ruelle comme étant réelle. Alors, il essaye ainsi de donner son opinion et sa perception afin de pourvoir se convaincre «cela ne devrait pas exister» lors de la course des rhinocéros dans la rue et autre semblable à « Nous devrions protester auprès des autorités municipales ! À quoi sont-elles bonnes les autorités municipales ? »P25 L4-6 comme à la progression de chaque mouvement politique extrême et totalitariste, les gens sont tous effrayés. Cet extrait auquel Jean fait allusion fait preuve de changement de sa part. En effet, il démontre une évolution de la municipalité par la transformation des gens en monstre puis à suivre la rhinocérite. C’est en ses interprétations que l’on relève les premières critiques formellement marquées, selon Botard «