Cette nuit là Sade rêvait qu'elle répondait au téléphone dans le bureau de papa. La voix est celle de Donna. C'est un rire nerveux, la menaçant avec Marcia et son frère. Papa saisit l'intérupteur mais la voix n'est plus là. 'Les tyrans sont lâches!' Il dit en renvoyant, Il y a un coup féroce à la porte. Joseph court pour l'ouvrir et maman se dépêche derrière lui. Marcia est debout là, indiquant Sade. C'est elle ! Elle appelle sur son épaule. Deux fissures pointues se brisent dans l'air. Elle entend le cri perçant de son père, s'écroulant, tombant. Non, non! La façade d'une voiture et le dérapage de pneus étouffe sa voix. Maman ! Murmure Sade. Marcia regarde hautainement Sade accroupissant maman. C'était signifié pour toi. Les yeux de Sade recherchaient craintivement à travers les ombres de la chambre tandis que ses doigts cherchaient à tâtonner pour la lumière de la lampe. Même si la lumière est allumée, elle continue à frissonner. La petite horlofe blanche avec des numéros verts que tante Gracie avait placé sur son bureau, montrait qu'il n'était que 3 heures passées. Elle se serrait, presque en se pinçant, se frottant les bras. Qu'est-ce qui n'allait pas chez elle ? Pourquoi laissait-elle Marcia fuir dans sa tête et tant l'effrayer . A peine l'avait-elle connue que c'était déjà la fille dans ses rêves, mélangés dans son cauchemar à propos de maman. Si elle pouvait parler à papa, elle pourrait imaginer ce qu'il voulait dire. Au moins ce qu'il avait voulu dire avant que maman mourru. Nous devons nous lever aux tyrans, fille Sade ! Autrement ils rentrent dans ta tête. C'est comme cela qu'ils arrivent à nous contrôler. Les “Soldats tyrans” nous règlent aujourd'hui parce-que la plupart des gens les ont laissé. Ils nous effraient en nous faisons croire qu'ils sont superpuissants. Sans leurs boutons jaunes ils ne sont rien. Tout ce que papa avait dit était vrai. Mais que'est-ce qui se passe quand tu te lève tout seu et quelqu'un est déjà aussi effrayé ? C'est ce qu'elle