Référendum du Général De Gaulle et ses conséquences 1969: *le 2 février 1969, créant la surprise, il annonce qu’un référendum sur la réforme des régions et la transformation du Sénat aura lieu au printemps. Mais le peuple de France ne semblait pas porter beaucoup d'intérêt à cette double question. Très vite, les oppositions se manifestent. Le président du MRP* Jean Lecanuet révèle le premier qu’il votera « non ». Un peu plus tard, Valéry Giscard d’Estaing fait de même. Le 10 avril, lors d’une allocution télévisée, il prévient qu’une réponse négative signifiera son départ. La politique de la France ne se fera pas contre son peuple. Le 27 avril, le verdict tombe :le « non » l’emporte par 52,41%. Le peuple lui même s'étonne d'avoir eu l'audace de voter contre son président .Le 28 avril 1969 Un communiqué venu de Colombey-les-deux-Eglises parvient au peuple de France:« Je cesse d’exercer mes fonctions de président de la République. Cette décision prend effet aujourd’hui à midi. » Après 11 ans de règne ininterrompu, de Gaulle quitte le pouvoir. La veille, les Français avaient voté « Non » à son dernier référendum. Une page de l’histoire est tournée. La place est libre pour Georges Pompidou. Référendum 1962: Election du président au suffrage direct? OUI à 62,25% Référendum traité de Lisbonne: 2007 -Une Europe plus démocratique et plus transparente: le Parlement européen et les parlements nationaux voient leur rôle renforcé, les citoyens peuvent plus facilement faire entendre leur voix et il est plus aisé de savoir qui fait quoi au niveau européen et national. -Une Europe plus efficace: l'UE se dote de méthodes de travail et de règles de vote simplifiées et d'institutions modernes permettant le bon fonctionnement d'une Union à 27 et sa capacité d'action est améliorée dans les domaines qui figurent aujourd'hui au premier rang de ses priorités. -Une Europe des droits et des valeurs, de la liberté, de la solidarité et de la sécurité, qui promeut les