Explication de texte de rousseau extrait de l’ « emile ou de l’éducation »,
L’homme est un être sensible qui est capable de sentir le bonheur et le malheur. Ainsi, sentir de la douleur, c’est ne pas satisfaire ses désirs et, mais au contraire, sentir le bonheur serait de satisfaire nos désirs. Le désir que nous éprouvant pour être heureux sont pour autant des souffrances, aspirant à être résorbées. Nos désirs sont énormes, mais sommes nous capable de les satisfaire ? Nos désirs nous mènent-ils vers le bonheur ? Y a-t-il un chemin qui nous mène vers le bonheur ?
On essaiera de répondre à ses questions en divisant le texte en 3 parties. En premier lieu, on analysera la thèse de Rousseau sur le bonheur, puis on étudiera le bonheur et le désir ensemble. Enfin on pourra étudier l’âme ordonnée menant au chemin du vrai bonheur.
Dès le début du texte, Rousseau annonce sa thèse sur le bonheur mais sans rien démontrer. L’emploi du « nous » fait appel à un sens de partage et le pronom « on » généralise tout individus impliquant même le lecteur. Le lecteur arrive à une conclusion que l’état de bonheur absolu n’existe pas, « on n’y goûte aucun sentiment pur » et qu’il existerait peut être un bonheur relatif. La négation employée de la ligne 1 « ne » est suivit du verbe « savoir » incitant le lecteur à prendre conscience qu’il est ignorant de ce que c’est que « le bonheur » et le « malheur » . Rousseau emploie vers la ligne 2, les mots « âme » « corps », pour ainsi dire qu’ils ont une relation étroite avec le bonheur et le malheur. L’âme et le corps sont inséparables et sont en quelques sortes deux façons de parler de la substance individuelle. L’âme aurait un force de mouvoir le corps et le corps d’agir sur