Expo au bozar de bruxelles : the state of things
Ils nous proposent une sélection de pièces d’artistes belge et chinoise et lancent des pistes de réflexion quant à la position de l’artiste par rapport au marché de l’art actuel.
Comment l’art trouve-t-il sa place dans une Chine immense, en pleine évolution et dans une minuscule Belgique, affirmée dans son Europe ?
À travers la grande variété des pièces exposées dans 22 salles aux ambiances diverses. La pluralité des œuvres, tant au niveau des supports que des concepts nous absorbent dans ses pistes abordées par l’art contemporain aussi bien belge que chinois.
La confrontation des deux nations fait naître beaucoup de similitudes et de différences, mais elle amène surtout un côté émotionnel très fort. La découverte surprenante de la plupart des œuvres parfois grinçante nous entraine dans un jeu de séduction de ce qui dérange.
Cette exposition est à recommander aux personnes curieuses qui aiment être surprises par la découverte du beau, du laid, du dérangeant…
Le but principal de l’exposition est de rassembler beaucoup d’artistes, de différentes nations, mais surtout de différentes sensibilités.
La ou l’un attire l’attention en se faisant enlever une côte, l’autre proposera un cube de verre rempli d’huile et d’eau.
Deux modes de réalisation bien différents, mais au final les réactions que l’on a en découvrant les oeuvres se révèlent assez semblables.
En découvrant le cube en verre proposé par Ann Veronica Janssens (BE), j’ai tout d’abord été blasé. Me disant, ça n’avait pas vraiment d’intérêt, c’est un cube avec un miroir au milieu. Mais il y avait néanmoins quelque chose qui me chiffonnait. Et en y regardant de plus près, en lisant la notice, en me déplaçant autour de