I . L’entreprise exportatrice :
1) Voir feuille « la démarche » pour se rappeler du cours de l’année dernière.
La démarche de l’exportateur
2) Rappel des principales difficultés et des principaux risques
Voir document
3) Les différents scénarios : - La vente directe (les clients peuvent être les entreprises comme les consommateurs) (salons, appels d’offres, avoir sa propre boutique) il peut atténuer les risques en sous traitant.
- L ‘exportation via agent commercial
L’agent commercial
L’agent commercial est chargé de promouvoir l’entreprise. Mais il n’est pas chargé de la prospection. Il ne perçoit pas de marge mais une commission. Il ne peut pas avoir de stock en son nom mais il peut avoir accès à un entrepôt géré par l’exportateur.
Quasiment tous les risques restent à la charge de l’exportateur.
Exportation via un intermédiaire indépendant :
Ce serait un importateur, ou bien un importateur distributeur.
L’exportation intra groupe : il s’agit de
CHAPITRE 2
Présentation de l’entreprise importatrice
Pourquoi l’entreprise est amenée à importer ?
Le produit est moins cher à l’étranger que sur le marché national (main d’œuvre, matiere premiere, taxe, cout administratifs, normes environnementale)
CHAPITRE 3 : L’organisation du passage en douane
Le statut douanier de la marchandise
Les valeurs à déclarer
La valeur en douane
A l’export
Cette valeur en douane ne sert pas de base de calcul pour une taxation, elle sert juste pour les statistiques. Si le transport est effectué par voie maritime, il s’agit de la valeur FOB porte d’embarquement. En transport terrestre, c’est la valeur franco-frontière. En transport aérien, c’est la valeur départ aéroport.
A l’import
En transport maritime il s’agit de la valeur CIF, premier port de débarquement en Union Européenne.
En matière de transport terrestre, c’est la valeur CIP, premier bureau de douane UE
En transport aérien, c’est la valeur CIP au moment où l’avion franchit la