Expose sur olympe de gouges
Ses derniers jours
Olympe de Gouges était âgé de 38 ans lorsque son procès a eu lieu. Elle avait fonde des sociétés populaires de femmes. Ses écrits étaient affiches sur tous les murs, et c’est ce qui la perdit. Apres la révolution du 31 mai, elle composa un écrit intitule Les trois urnes ou le salut de la patri, dans lequel elle gardait l’anonymat. Dans cet écrit, elle proposait de réunir les assemblées pour délibérer sur la forme de Gouvernement à établir : Monarchie, République ou République fédérative. Avant même que cet écrit soit affiche, on l’arrêta le 20 juillet. Elle fut interrogée immédiatement par les administrateurs de police, puis par un juge du tribunal révolutionnaire, Ardouin.
Elle reconnut le fait qu’elle avait écrit ce manuscrit et explique qu’elle n’avait pas signe par son vrai nom par simple modestie.
Le 21 aout, on la fit passer de la prison de l’Abbaye a l’infirmerie de la Petite-Force, suite a l’avis du médecin qui déclara que la sante d’Olympe demandait des ménagements. Elle écrivit au tribunal pour solliciter sa mise en liberté ou son jugement. Dans cette lettre qu’elle voulait afficher, c’est surtout au peuple qu’elle voulait parler. Le tribunal ne lui répondit que trois mois plus tard, pour qu’elle se présente devant lui.
On l’accusait, en bref, de 2 éléments : le premier, d’avoir imprime les trois urnes ou le salut de la patrie. Le deuxième, d’être l’auteur du placard Olympe de Gouges, défenseur de Louis Capet, dans lequel elle défendait la cause du roi.