fafardon
Explication. Ce n'est pas, formellement, un manifeste car il n'y avait pas, à la rédaction du texte, de prise de position collective et publique. Ce fut d'abord un poème, un poème engagé. Dès son apparition le 27 mai 1968 sur la scène de la Comédie canadienne lors d'une manifestation intitulée Chants et poèmes de la Résistance (avec Y. Deschamps, G. Miron, R. Charlebois, etc.), il a été cité, et brandi comme une sorte de manifeste. Publié aussitôt dans la revue Socialisme (comme poème), puis, en 1974 dans une plaquette de poèmes à laquelle il donne son titre, il existe aussi sous la forme d'une affiche, dessinée par Roland Giguère, où le texte est en rouge sur fond gris. L'affiche visait à freiner le photocopillage, mais elle a contribué à donner au texte une allure de dazak White, Montréal, l'Hexagone, 1974.
Explication. Ce n'est pas, formellement, un manifeste car il n'y avait pas, à la rédaction du texte, de prise de position collective et publique. Ce fut d'abord un poème, un poème engagé. Dès son apparition le 27 mai 1968 sur la scène de la Comédie canadienne lors d'une manifestation intitulée Chants et poèmes de la Résistance (avec Y. Deschamps, G. Miron, R. Charlebois, etc.), il a été cité, et brandi comme une sorte de manifeste. Publié aussitôt dans la revue Socialisme (comme poème), puis, en 1974 dans une plaquette de poèmes à laquelle il donne son titre, il existe aussi sous la forme d'une affiche, dessinée par Roland Giguère, où le texte est en rouge sur fond gris. L'affiche visait à freiner le photocopillage, mais elle a contribué à donner au texte une allure de dazak White, Montréal, l'Hexagone, 1974.
Explication. Ce n'est pas, formellement, un manifeste car il n'y avait pas, à la rédaction du texte, de prise de position collective et publique. Ce fut d'abord un poème, un poème engagé. Dès son apparition le 27 mai 1968 sur la scène de la Comédie canadienne lors d'une manifestation intitulée Chants et