« Familles! je vous hais! foyers clos; portes refermées, possessions jalouse du bonheur »

673 mots 3 pages
« Familles! Je vous hais! Foyers clos; portes refermées, possessions jalouse du bonheur »

Depuis la nuit des temps, nous naissons, pour la plus part, entourés de notre père et de notre mère. A partir de ce moment une famille est formée. La familles est la première intégration dans le milieu social. Selon les foyers, elle peut être très présente dans notre vie ou au contraire pas. Elle est là qu'on le veuille ou non. Par la suite la vie de famille, à travers les époques, à beaucoup évolué. Elle peut se montrer très envahissante ou pas assez présente mais la famille peut être le centre de beaucoup de problèmes au fil des années.
Ici, Gide nous exprime la haine qu'il éprouve envers sa famille, il affirme que la famille est signe de renfermement et de jalousie les uns envers les autres.
Il est vrai que, arrivé à une certaine période de notre vie, nous pouvons voir une facette différente de l'image que l'on se faisait de la famille. Mais est-ce forcément ainsi que finissent toutes les familles, ne peut-on pas trouver une issu à ce problème?

Dès que l'on nait, la famille est notre premier contact social. Ce premier contact est très important pour la suite de notre vie. Nous pouvons constater que les personnes n'ayant pas eu se premier contact, ont par la suite beaucoup de problèmes pour s'intégrer en société. Par exemple, après avoir eu une enfance difficile et traumatisante ils peuvent pendant cette période se créer une « carapace » qui empêche tous bon et facile contact avec le monde extérieur.
A notre plus jeune âge la famille est là pour nous aider, nous apprendre les règles de la vie en société et nous donner une éducation. Cette période est cruciale à notre vie future et il est strictement impossible de les négliger. Mais après cette étape de notre vie, où l'on est aidé par notre famille, nous nous devons d'apprendre des choses par nous même, apprendre des règles que nous seul pouvons nous fixer, des expériences de vie que nous seul, nous devons

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